Comment la finance durable, essentielle à une économie en lien avec les Objectifs de Développement Durables de l’ONU, lutte contre le greenwashing

En Suisse, l’initiative « Building Bridges », lancée en 2019 par les autorités publiques, les Nations Unies et des acteurs de la finance a tenu sa 3ème édition à Genève. Cet article partage quelques réflexions suscitées par l’événement.

https://www.allnews.ch/content/points-de-vue/le-greenwashing-est-un-mal-sournois

Plusieurs cours à l’ifage traitent le sujet de l’ESG et de la finance durable:

EAR – Accord d’échange automatique de renseignements

La norme mondiale de l’échange automatique de renseignements relatifs aux comptes financiers (EAR) permet d’améliorer la transparence fiscale et de lutter contre la soustraction d’impôt sur le plan international

Elle prévoit que les États et les territoires qui ont convenu de l’appliquer entre eux échangent mutuellement des renseignements sur les comptes financiers

Plus de 100 États dont la Suisse et tous les grands centres financiers se sont déclarés prêts à reprendre cette norme ;

Source: https://www.sif.admin.ch/sif/fr/home/relations-multilaterales/echance-renseignements-fiscaux/echance-automatique-renseignements/comptes-financiers/bases-legales-fonctionnement.html

Pour plus d’information : Film explicatif Swissbanking.

Vous aimeriez en apprendre plus sur l’EAR et les ouvertures de comptes : prochain cours L’entrée en relation et les opérations bancaires à l’ifage à partir du 15 décembre.

La BNS va-t-elle relever ses taux directeurs?

Les perspectives économiques à court terme se sont assombries en Suisse. Les incertitudes sont importantes, tout comme à l’étranger. Dans ce contexte tendu, la Banque nationale suisse (BNS) n’exclut pas de relever à nouveau ses taux, a fait savoir son président Thomas Jordan lors d’une réunion avec le Conseil fédéral.

Si l’inflation suisse « reste basse par rapport à d’autres pays, elle se situe néanmoins au-dessus du seuil de stabilité des prix défini par la BNS » et qui se situe entre 0% et 2%. « De plus en plus de signes indiquent que les hausses des prix affectent davantage les biens et services qui ne sont pas directement touchés par la guerre en Ukraine ou par les conséquences de la pandémie », indique le communiqué.

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